log en direct des canapés à l’étage du Luminor, dans lesquels j’ai du me blottir pour sécher mes larmes et reprendre mes esprits, aoutch 

déjà le film s’ouvre sur « la nuit je mens » de rosemary standley, chanson adorée, j’ai compris où on allait. 

tout plein de mots-poésies : les baisers électriques, l’exil sentimental, l’urgence de vie, les nuits d’étreintes, l’embrasement. il y a toujours quelque part ton sein tes yeux ton visage, ça compte.

c’était trop beau et cruel, je suis toute toute remuée

j’ai fait que de penser à Aftersun (2022), genre Swann Arlaud c’est le Paul Mescal père dépressif version alaska survival contre des ours voilà

her being aries, him being cancer

la scène où le père parle dans la voiture, que ses lèvres bougent, mais que c’est la voix et le souvenir de l’enfant que l’on entend…..💔💔💔💔💔